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El Condor…
PARACHUTISTES MILITAIRES :: - LES VÉHICULES MILITAIRES, LES ARMES :: VÉHICULES A ROUES OU CHENILLES, LES AERONEFS
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El Condor…
Bien évidemment ce sujet ne pouvait que m’intéresser !
D’abord, il s’agit d’un collègue… le Condor, et puis j’avoue que se promener à haute altitude par -20° pour faire 30 kms c’est fatiguant…
En plus, ça me rappelle une vague histoire de nacelle suggérée par un certain général du côté de Dieuze...
Le drone français « Condor » pourrait faciliter l’infiltration et la logistique des forces spéciales
(Un sujet suggéré par JCDW)
par Laurent Lagneau • 19 octobre 2019

Pour opérer en territoire hostile, les forces spéciales ont recours à la technique dite d’infiltration sous voile.
Elle consiste à effectuer, généralement de nuit, un saut en parachute à haute altitude et à dériver sous voile, selon la force du vent et les courants ascendants, sur une dizaine de kilomètres, voire davantage.
Autant dire qu’il ne s’agit pas d’un sport de masse puisque le chuteur doit composer avec des températures très basses [de l’ordre de -20°c] tout en portant son équipement, qui peut atteindre les 60 kg.
Pour augmenter la distance entre la position du largage et le point d’infiltration tout en faisant fi des conditions météorologiques, un ancien parachutiste d’essai et commando Marine, Thierry Demonfort, fondateur de la PME Demonfort Airborne Engineering [DAE] a imaginé un nouveau concept, reposant sur un drone largué par un avion de transport C-130 Hercules.
Ainsi, en 2015, à l’occasion du SOFINS, le salon dédié aux forces spéciales et organisé tous les deux ans au camp de Souge [33], DAE avait présenté le drone aérolargable « Condor« , destiné à « améliorer le rayon d’action des forces spéciales dans le domaine de l’infiltration d’espace aérien ».
Affichant 3 mètres de long pour 3 mètres de large, cet appareil, muni d’ailes en V et de winglets, emporterait un parachutiste avec son équipement.
Dans le détail, le Condor serait largué depuis la soute d’un avion cargo, à une centaine de kilomètres du point d’infiltration. Une fois arrivé sur la position, le chuteur, allongé sur le ventre, quitterait le drone après le retournement de ce dernier, pour ensuite atteindre le lieu visé en parachute.
Une fois sa mission terminée, le Condor rejoindrait un point de récupération en zone amie, couperait ses moteurs avant d’ouvrir un parachute et retomber doucement sur la terre ferme…
La suite ICI
D’abord, il s’agit d’un collègue… le Condor, et puis j’avoue que se promener à haute altitude par -20° pour faire 30 kms c’est fatiguant…
En plus, ça me rappelle une vague histoire de nacelle suggérée par un certain général du côté de Dieuze...
Le drone français « Condor » pourrait faciliter l’infiltration et la logistique des forces spéciales
(Un sujet suggéré par JCDW)
par Laurent Lagneau • 19 octobre 2019

Pour opérer en territoire hostile, les forces spéciales ont recours à la technique dite d’infiltration sous voile.
Elle consiste à effectuer, généralement de nuit, un saut en parachute à haute altitude et à dériver sous voile, selon la force du vent et les courants ascendants, sur une dizaine de kilomètres, voire davantage.
Autant dire qu’il ne s’agit pas d’un sport de masse puisque le chuteur doit composer avec des températures très basses [de l’ordre de -20°c] tout en portant son équipement, qui peut atteindre les 60 kg.
Pour augmenter la distance entre la position du largage et le point d’infiltration tout en faisant fi des conditions météorologiques, un ancien parachutiste d’essai et commando Marine, Thierry Demonfort, fondateur de la PME Demonfort Airborne Engineering [DAE] a imaginé un nouveau concept, reposant sur un drone largué par un avion de transport C-130 Hercules.
Ainsi, en 2015, à l’occasion du SOFINS, le salon dédié aux forces spéciales et organisé tous les deux ans au camp de Souge [33], DAE avait présenté le drone aérolargable « Condor« , destiné à « améliorer le rayon d’action des forces spéciales dans le domaine de l’infiltration d’espace aérien ».
Affichant 3 mètres de long pour 3 mètres de large, cet appareil, muni d’ailes en V et de winglets, emporterait un parachutiste avec son équipement.
Dans le détail, le Condor serait largué depuis la soute d’un avion cargo, à une centaine de kilomètres du point d’infiltration. Une fois arrivé sur la position, le chuteur, allongé sur le ventre, quitterait le drone après le retournement de ce dernier, pour ensuite atteindre le lieu visé en parachute.
Une fois sa mission terminée, le Condor rejoindrait un point de récupération en zone amie, couperait ses moteurs avant d’ouvrir un parachute et retomber doucement sur la terre ferme…
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LANG- ADMINISTRATEUR
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Re: El Condor…
Superbe machine .
jojo27- Messages : 83
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Date d'inscription : 26/05/2019
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