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Livre : Soldat de l’ombre
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Livre : Soldat de l’ombre
Soldat de l'ombre: Au cœur des forces spéciales
Du général Christophe Gomart avec Jean Guisnel

Présentation chez Amazon.
Asséner le premier coup de poing, délivrer des otages, mener des opérations ciblées, neutraliser des chefs terroristes… Toutes ces situations critiques, le général Christophe Gomart les a vécues. Il nous livre à travers ses mémoires une plongée unique dans l’univers des forces spéciales, ces unités d’élite associées aux guerres secrètes de la France.
Pour la première fois, un général raconte ses trente-cinq années de guerres de l’ombre sur tous les fronts et en première ligne : à Sarajevo en 1992, au Rwanda durant l’opération Turquoise en 1994, dans la traque des criminels de guerre en ex-Yougoslavie, en Afghanistan contre les talibans en 2001, en Libye lors de l’opération Harmattan contre Kadhafi en 2011, au Mali lors de l’opération Serval en 2013, jusqu’au Moyen-Orient en soutien aux Kurdes contre Daech…
Dans cet ouvrage palpitant, il nous fait entrer dans les coulisses du prestigieux COS, le Commandement des opérations spéciales, et nous fait vivre les prises de décisions politiques autant que ces opérations de terrain. En homme d’action et de réflexion, il retrace cette part de notre histoire, où parfois vérité et gloire ne font pas bon ménage. Sans langue de bois, il interroge le rôle de la France comme gendarme du monde.
Un ancien chef de corps du 13.
Un petit extrait de son livre:
… Mon parcours n’a rien à voir avec celui d’un héritier ; j’ai toujours dû prouver mes capacités ni plus ni moins que les autres. Ceux qui pensent que dans l’armée être le fils de quelqu’un – surtout s’il s’agit d’un militaire – serait un atout se trompent : quand je suis arrivé « au 13 » à l’été 1984, mon père avait quitté trois ans auparavant le régiment dont il était chef de corps. La majorité des gens le connaissait, certains l’avaient apprécié et d’autres moins ! J’étais donc« le fils de ». J’ai très vite appris qu’il n’est pas si facile de se faire un prénom, mais aujourd’hui quand on évoque un Gomart au 13, on en a deux pour le prix d’un ! Ce ne sont plus guère que des anciens, parfois croisés dans les cérémonies, qui s’en souviennent. Ceux qui ont connu mon père commencent à se faire plus rares. Ceux qui m’ont croisé en fonction au régiment aussi, d’ailleurs… Il n’est pas si fréquent qu’un père et son fils aient commandé la même unité. En ce qui me concerne, j’ai cherché seulement à bien remplir ma mission. Bon, ou pas, je ne le dois qu’à moi-même…
Du général Christophe Gomart avec Jean Guisnel

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Asséner le premier coup de poing, délivrer des otages, mener des opérations ciblées, neutraliser des chefs terroristes… Toutes ces situations critiques, le général Christophe Gomart les a vécues. Il nous livre à travers ses mémoires une plongée unique dans l’univers des forces spéciales, ces unités d’élite associées aux guerres secrètes de la France.
Pour la première fois, un général raconte ses trente-cinq années de guerres de l’ombre sur tous les fronts et en première ligne : à Sarajevo en 1992, au Rwanda durant l’opération Turquoise en 1994, dans la traque des criminels de guerre en ex-Yougoslavie, en Afghanistan contre les talibans en 2001, en Libye lors de l’opération Harmattan contre Kadhafi en 2011, au Mali lors de l’opération Serval en 2013, jusqu’au Moyen-Orient en soutien aux Kurdes contre Daech…
Dans cet ouvrage palpitant, il nous fait entrer dans les coulisses du prestigieux COS, le Commandement des opérations spéciales, et nous fait vivre les prises de décisions politiques autant que ces opérations de terrain. En homme d’action et de réflexion, il retrace cette part de notre histoire, où parfois vérité et gloire ne font pas bon ménage. Sans langue de bois, il interroge le rôle de la France comme gendarme du monde.
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Un ancien chef de corps du 13.
Un petit extrait de son livre:
… Mon parcours n’a rien à voir avec celui d’un héritier ; j’ai toujours dû prouver mes capacités ni plus ni moins que les autres. Ceux qui pensent que dans l’armée être le fils de quelqu’un – surtout s’il s’agit d’un militaire – serait un atout se trompent : quand je suis arrivé « au 13 » à l’été 1984, mon père avait quitté trois ans auparavant le régiment dont il était chef de corps. La majorité des gens le connaissait, certains l’avaient apprécié et d’autres moins ! J’étais donc« le fils de ». J’ai très vite appris qu’il n’est pas si facile de se faire un prénom, mais aujourd’hui quand on évoque un Gomart au 13, on en a deux pour le prix d’un ! Ce ne sont plus guère que des anciens, parfois croisés dans les cérémonies, qui s’en souviennent. Ceux qui ont connu mon père commencent à se faire plus rares. Ceux qui m’ont croisé en fonction au régiment aussi, d’ailleurs… Il n’est pas si fréquent qu’un père et son fils aient commandé la même unité. En ce qui me concerne, j’ai cherché seulement à bien remplir ma mission. Bon, ou pas, je ne le dois qu’à moi-même…
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