Rechercher
Derniers sujets
Petites annonces
Pas d'annonces disponibles.
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 34 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 1 Invisible et 33 Invités :: 2 Moteurs de rechercheAucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 257 le Mar 2 Juin - 23:31
Statistiques
Nous avons 477 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est ROSSI HENRI
Nos membres ont posté un total de 5533 messages dans 1930 sujets
Histoire de la 10eme DP
PARACHUTISTES MILITAIRES :: - LES RÉGIMENTS, UNITÉS, SERVICE DE SANTE :: - 10eme DIVISION PARACHUTISTE
Page 1 sur 1
Histoire de la 10eme DP
La 10e Division Parachutiste (10e DP) était une unité de l'armée de terre française, à dominante infanterie, composée de troupes aéroportées et spécialisée dans le combat aéroporté et l'assaut par air. Constituée en 1956, elle interviendra principalement dans le cadre de guerre d'Algérie ainsi qu'à Suez (Égypte).
Commandants en chef
Général Massu
Du1er juillet 1955 au 1er juillet 1956 (GPI)
Du 2 juillet 1956 au 3 février 1959 (10ème DP)
Général Gracieux
Du 3 février 1959 au 25 mai 1960
Général Saint-Hillier
Du 26 mai 1960 au 30 avril 1961
Colonels adjoints
Rocquigny du Fayel 1955-56
Colonel Godard 1956-1958
Lieutenant-colonel Romain-Desfossés 1958
Colonel Mayer 1959-1960
Colonel Ceccaldi 1961
Chefs d’état-major
Colonel Godard 1955-1956
Lieutenant-colonel Brothier 1957
Lieutenant-colonel Ducasse 1958
Lieutenant-colonel Dangounau 1959-1960
Commandant Morin 1960
Commandant de Saint Marc 1960
Lieutenant-colonel Tourret 1961
Régiments (commandés par des colonels ou des lieutenants-colonels)
1er RCP - Mayer, Coustaux, Broizat
1er REP - Brothier, Jeanpierre, Dufour, Guiraud
2ème RPIMA - Chateau-Jobert, Fossey-François, Lemire, Toce
3ème RPIMA - Bigeard, Trinquier, Bonnigal, Leborgne
6ème RPIMA - Romain-Desfossés, Ducasse, Balbin
9ème RCP - Brechignac, Defert
23ème RDP - Pallu, Pottier, de Serech d’Aurimont
20ème GAP - Queirard, Castagnet
Historique
La 10ème Division parachutiste (10ème DP) est une unité composée de troupes aéroportées constituée le 1er juillet 1956 à parti du Groupement parachutiste d’intervention (GPI).
À peine constituée, la 10ème DP est désignée pour intervenir lors de l’opération Mousquetaire à Suez. Pour cette opération, la division est renforcée et atteint un effectif de 8 300 hommes.
A la suite de la vague d’attentats terroristes qui font de nombreuses victimes innocentes à Alger, le ministre-résident Robert Lacoste confie, en janvier 1957, au général Massu et à la Division, la totalité des pouvoirs de police dans la zone d’Alger.
Trois des cinq régiments d’infanterie parachutiste de la division (1er RCP, 1er REP et 3ème RPC), participent, de janvier à mai 1958, à la Bataille des Frontières qui permet d’enrayer l’aide apportée aux rebelles par la Tunisie. En 1958 également, Deux de ses régiments, le 1er REP et le 3ème RPC, s’illustrent dans la région de Touggourt et Timimoun. Puis les opérations continuent dans l’Atlas Blidéen et en Kabylie.
Le 1er décembre 1958, les régiments de parachutistes coloniaux (RPC) deviennent des régiments parachutistes d’infanterie de marine (RPIMA).
Le 13 mai 1958, la 10ème DP, derrière son chef, le général Massu, participe de toute son âme et en toute bonne foi, au mouvement amenant le général De Gaulle au pouvoir.
Elle repart aussitôt après en opération dans le Titteri et en Kabylie.
Début février 1959, le 10ème DP, mise à la disposition directe du général commandant en chef, quitte le commandement de la Zone Nord Algérois, c’est le début du Plan Challe. Pendant six mois, elle opère dans l’Ouarsenis, le Hodna et enfin en Kabylie.
Le 24 janvier 1960, pour la Semaine des barricades, elle et appelée à maintenir l’ordre à Alger, c’est une des missions les plus dramatiques et les plus difficiles qu’elle eut à accomplir.
Le 15 février 1960, l’état-major et toutes les unités divisionnaires quittent Hydra pour s’installer à Blida.
Jusqu’au 30 avril 1961, la Division est en Kabylie, à la frontière tunisienne, dans le Hodna, dans les Aurès et dans le Nord Constantinois, partout étroitement unie aux troupes de quadrillage. Elle reçoit des témoignages d’admiration du ministre des Armées, du général en chef et du général commandant le Corps d’armée d’Alger.
Pendant le Putsch des éléments de la Division, réputée très proche de la population algéroise, se rallient aux Putschistes. A l’issue du Putsch, les trois divisions de réserve : 10ème DP, 25ème DP et 11ème DI, sont dissoutes le 30 avril 1961 pour former la 11ème DLI et trois brigades.
Le 1er REP est le seul régiment de la Division à être dissous.
Notes du général GLAVANY :
La 10ème D.P. était alors essentiellement constituée par cinq régiments d’élite et qui semblaient infatigables : le 1er régiment étranger de parachutistes ou 1er REP ; le 1er régiment de chasseurs parachutistes ou 1er RCP ; les 2ème, 3ème et 6ème régiments parachutistes d’infanterie de marine ou RPIMA.
Les chefs de corps étaient tous du type « vieux baroudeurs », anciens des campagnes de la Libération et d’Indochine, très proches de leurs hommes et parmi lesquels se détachaient, tout particulièrement, les colonels Cousteau et Balbin. Il y avait bien une artillerie divisionnaire, mais dans ce conflit le rôle de l’artillerie était réduit au strict minimum.
Le patron était le général Gracieux. Petit, râblé, d’un calme imperturbable, précis et concis dans ses ordres, d’une bonhomie apparente que démentait très vite un regard sans équivoque. Le général Gracieux vivait pour sa division qu’il avait parfaitement en mains.
Je lui connus deux adjoints successifs, le colonel Mayer, figure célèbre des parachutistes, puis le colonel Ceccaldi, Compagnon de la Libération, soldat gaulliste des premiers mois, « l’artilleur de Koufra », qui gagnait tous les cœurs par sa gentillesse souriante et « décontractée » et dont la seule présence calmait les énervés et les impatients. Une petite équipe d’état-major mettait en musique les ordres du patron, essentiellement animée par le commandant Faulques au 3ème Bureau, « Opérations » ; le capitaine Planet ; au 2ème Bureau « Renseignements » ; le capitaine Camus, au 4ème Bureau. Faulques et Planet avaient été en Indochine des guerriers d’un courage exceptionnel qui faisait encore l’admiration de tous. Avec ces officiers, au fil de longues soirées d’hiver, de la vie au coude à coude et des épreuves subies, j’établis assez vite des relations de confiance et d’amitié. Je suis heureux et fier de les avoir connus. »
Dernière édition par vent du sud le Mar 5 Mai - 13:08, édité 2 fois
vent du sud- Messages : 115
Points : 17443
Réputation : 2814
Date d'inscription : 01/05/2017
Peloton d’avions du Groupement parachutiste d’intervention 10eme DP
Le peloton d’avions du groupement parachutiste d’intervention (GPI) est créé, à Sétif Aïn-Arnat, le 1er avril 1956 avec des éléments du groupe de marche du GAOA N° 9 de Valence, il est placé sous le commandement du capitaine Gervais.
Sa dotation en matériel est de six Piper L-18C.
Le 16 mai, il quitte Aïn-Arnat pour rejoindre La Réghaïa, à quarante kilomètres d’Alger-Hydra, siège du PC du GPI. La formation de soutien est le 20ème GAP, basé à Mouzaïaville, à une soixantaine de kilomètres. L’installation est sommaire, baraques métalliques et tentes sur un morceau de terrain coincé entre la piste avions et le cantonnement du Génie de l’Air.
Cette installation restera sommaire de par sa vocation de peloton itinérant, il est rarement dans son cantonnement et sera le seul peloton en Algérie à n’avoir jamais eu de hangar.
Le GPI ne travaille alors pas en groupement, il distribue ses régiments et aussi ses avions. Les missions sont disparates au-dessus des unités de l’Algérois, plus un détachement dans le sud, à Djelfa.
Peloton d’avions de la 10ème DP (PA 10ème DP)
Le GPI étant devenu 10ème Division parachutiste, le Peloton change de dénomination le 1er août 1956. La division est mise en alerte pour une opération sur le canal de Suez. Le peloton se prépare, fait de fréquentes liaisons sur Mouzaïaville, peint ses avions couleur sable et les met en caisse.
Le départ devait être rapide mais il est retardé. Heureusement, deux L-18C sont prêtés au peloton pour son entraînement, car son embarquement n’aura lieu que le 1er novembre.
Revenu début 1957 en Algérie, le peloton engage ses observateurs à bord de Bell du GH 2 à la fin du mois de janvier dans la Bataille d’Alger. Ils passent des heures à surveiller la capitale.
A la mi-février l’activité normale reprend. Le peloton opère avec des éléments de la Division et des troupes du secteur dans l’Atlas Blidéen et quelquefois en Kabylie. Il n’a conservé que deux Piper L-18C, son parc s’étant enrichi de six Piper L-21BM en mai.
On trouve le Peloton partout où la Division opère : Blida, Bouira, Bir-Rabalou, Bou-Saâda, où il passe quelques jours. En fin d’année 1958, il travaille en liaison avec un DIH de l’armée de l’Air.
A partir de cette époque, le Peloton se déplace en quasi totalité pour se mettre en place au plus près des opérations. Il se fait même héberger par d’autres unités ALAT, à Berrouaghia du 29 décembre 1958 au 8 janvier 1959, à Orléansville du 5 février au 7 avril 1959, et dans l’Ouarsenis. Chaque fois, les mécaniciens et hommes du rang démontent et remontent le cirque, tentes, cuisines, camions PC et atelier, sans oublier la ménagerie avec les deux mascottes :
Charlie, l’âne, et Negrine, la chèvre, plus une dizaine de chiens !
Pour suivre dans l’année 1959, il y a l’installation à Bourbaki du 24 avril au 20 mai. En juin, il perçoit six Cessna L-19E qui remplacent les Piper L-21BM reversés en août. Puis le peloton prend part aux grandes opérations, d’abord Etincelles, du 5 au 12 juillet en Grande Kabylie (stationnement à Bordj-Bou-Arreridj du 8 au 22 juillet), et ensuite Jumelles à partir du 22 juillet (stationnement à Akbou du 22 juillet au 10 août). Puis, c’est l’arrivée à Souk-el-Tnine, le 11 août, l’installation à Akbou le 17 octobre pour deux jours. Le peloton rejoint Bougie le 19 octobre, où il restera jusqu’au 4 avril 1960.
Peloton mixte d’avions et d’hélicoptères de la 10ème DP (PMAH 10ème DP)
Le 1er janvier 1960, le Peloton change d’appellation car il va recevoir ses premiers hélicoptères.
Les Alouette II arrivent en avril, elles sont au nombre de sept à la fin de l’année. Le 19 avril, déménagement à Guelma, puis le 1er mai à Bône. Le 20 mai, le cirque s’installe sur le terrain de Pascal, au sud de Sétif. Puis, il fait mouvement sur M’Sila, le 1er juin, pour deux jours. Le 10 juin, il rejoint le terrain de Corneille jusqu’au 21, avec une mise place deux jours à Batna, les 18 et 19 juin. Le 21, le PMAH se déplace sur Oued-Hamimine et s’installe deux jours plus tard en bordure du Kébir, à El-Milia. C’est le seul peloton de l’ALAT en AFN a n’avoir jamais eu de locaux.
Ses personnels sont logés sous des tentes au gré des opérations et ses appareils restent sans abris. Le 20 juillet 1960, le peloton retourne au GALAT 105, après avoir été rattaché au GALAT 101, et il rejoint La Réghaïa. Pour une courte durée, puisqu’il repart pour Orléansville le 25 juillet.
Le 1er août, le peloton passe sous les ordres du capitaine Charrier et continue ses opérations sur le Hodna, les Aurès, la frontière tunisienne et la Kabylie. Installé à Djidjelli, c’est là que, le 23 février 1961, le commandant du peloton trouvera la mort, aux commandes d’un L-19E.
Sa succession est assurée par le capitaine Arzel. Un nouveau coup dur frappe le peloton, le 17 avril 1961, avec le crash d’un L-19E qui percute une paroi rocheuse, s’abat et prend feu, dans la région de Ziana-Mansouriah, provoquant le décès de ses deux occupants : le lieutenant Charmet, observateur, et le maréchal des logis More.
Association des Amis de l’ALAT
Et aussi un livre :

SOMMAIRE:
LA 10e DIVISION PARACHUTISTE, UNE "GARDE PRETORIENNE"
LES TENUES DE SAUT ET DE TREILLIS CAMOUFLEES
LE BREVET DE PARACHUTISTE
PARACHUTE ET EQUIPEMENT DE SAUT
LES CASQUES DES PARACHUTISTES DE LA 10e DP
LES COIFFURES DES PARACHUTISTES DE LA 10e DP
LES INSIGNES
LES CHAUSSURES
EQUIPEMENT ET ARMEMENT
Sa dotation en matériel est de six Piper L-18C.
Le 16 mai, il quitte Aïn-Arnat pour rejoindre La Réghaïa, à quarante kilomètres d’Alger-Hydra, siège du PC du GPI. La formation de soutien est le 20ème GAP, basé à Mouzaïaville, à une soixantaine de kilomètres. L’installation est sommaire, baraques métalliques et tentes sur un morceau de terrain coincé entre la piste avions et le cantonnement du Génie de l’Air.
Cette installation restera sommaire de par sa vocation de peloton itinérant, il est rarement dans son cantonnement et sera le seul peloton en Algérie à n’avoir jamais eu de hangar.
Le GPI ne travaille alors pas en groupement, il distribue ses régiments et aussi ses avions. Les missions sont disparates au-dessus des unités de l’Algérois, plus un détachement dans le sud, à Djelfa.
Peloton d’avions de la 10ème DP (PA 10ème DP)
Le GPI étant devenu 10ème Division parachutiste, le Peloton change de dénomination le 1er août 1956. La division est mise en alerte pour une opération sur le canal de Suez. Le peloton se prépare, fait de fréquentes liaisons sur Mouzaïaville, peint ses avions couleur sable et les met en caisse.
Le départ devait être rapide mais il est retardé. Heureusement, deux L-18C sont prêtés au peloton pour son entraînement, car son embarquement n’aura lieu que le 1er novembre.
Revenu début 1957 en Algérie, le peloton engage ses observateurs à bord de Bell du GH 2 à la fin du mois de janvier dans la Bataille d’Alger. Ils passent des heures à surveiller la capitale.
A la mi-février l’activité normale reprend. Le peloton opère avec des éléments de la Division et des troupes du secteur dans l’Atlas Blidéen et quelquefois en Kabylie. Il n’a conservé que deux Piper L-18C, son parc s’étant enrichi de six Piper L-21BM en mai.
On trouve le Peloton partout où la Division opère : Blida, Bouira, Bir-Rabalou, Bou-Saâda, où il passe quelques jours. En fin d’année 1958, il travaille en liaison avec un DIH de l’armée de l’Air.
A partir de cette époque, le Peloton se déplace en quasi totalité pour se mettre en place au plus près des opérations. Il se fait même héberger par d’autres unités ALAT, à Berrouaghia du 29 décembre 1958 au 8 janvier 1959, à Orléansville du 5 février au 7 avril 1959, et dans l’Ouarsenis. Chaque fois, les mécaniciens et hommes du rang démontent et remontent le cirque, tentes, cuisines, camions PC et atelier, sans oublier la ménagerie avec les deux mascottes :
Charlie, l’âne, et Negrine, la chèvre, plus une dizaine de chiens !
Pour suivre dans l’année 1959, il y a l’installation à Bourbaki du 24 avril au 20 mai. En juin, il perçoit six Cessna L-19E qui remplacent les Piper L-21BM reversés en août. Puis le peloton prend part aux grandes opérations, d’abord Etincelles, du 5 au 12 juillet en Grande Kabylie (stationnement à Bordj-Bou-Arreridj du 8 au 22 juillet), et ensuite Jumelles à partir du 22 juillet (stationnement à Akbou du 22 juillet au 10 août). Puis, c’est l’arrivée à Souk-el-Tnine, le 11 août, l’installation à Akbou le 17 octobre pour deux jours. Le peloton rejoint Bougie le 19 octobre, où il restera jusqu’au 4 avril 1960.
Peloton mixte d’avions et d’hélicoptères de la 10ème DP (PMAH 10ème DP)
Le 1er janvier 1960, le Peloton change d’appellation car il va recevoir ses premiers hélicoptères.
Les Alouette II arrivent en avril, elles sont au nombre de sept à la fin de l’année. Le 19 avril, déménagement à Guelma, puis le 1er mai à Bône. Le 20 mai, le cirque s’installe sur le terrain de Pascal, au sud de Sétif. Puis, il fait mouvement sur M’Sila, le 1er juin, pour deux jours. Le 10 juin, il rejoint le terrain de Corneille jusqu’au 21, avec une mise place deux jours à Batna, les 18 et 19 juin. Le 21, le PMAH se déplace sur Oued-Hamimine et s’installe deux jours plus tard en bordure du Kébir, à El-Milia. C’est le seul peloton de l’ALAT en AFN a n’avoir jamais eu de locaux.
Ses personnels sont logés sous des tentes au gré des opérations et ses appareils restent sans abris. Le 20 juillet 1960, le peloton retourne au GALAT 105, après avoir été rattaché au GALAT 101, et il rejoint La Réghaïa. Pour une courte durée, puisqu’il repart pour Orléansville le 25 juillet.
Le 1er août, le peloton passe sous les ordres du capitaine Charrier et continue ses opérations sur le Hodna, les Aurès, la frontière tunisienne et la Kabylie. Installé à Djidjelli, c’est là que, le 23 février 1961, le commandant du peloton trouvera la mort, aux commandes d’un L-19E.
Sa succession est assurée par le capitaine Arzel. Un nouveau coup dur frappe le peloton, le 17 avril 1961, avec le crash d’un L-19E qui percute une paroi rocheuse, s’abat et prend feu, dans la région de Ziana-Mansouriah, provoquant le décès de ses deux occupants : le lieutenant Charmet, observateur, et le maréchal des logis More.
Association des Amis de l’ALAT
Et aussi un livre :

SOMMAIRE:
LA 10e DIVISION PARACHUTISTE, UNE "GARDE PRETORIENNE"
LES TENUES DE SAUT ET DE TREILLIS CAMOUFLEES
LE BREVET DE PARACHUTISTE
PARACHUTE ET EQUIPEMENT DE SAUT
LES CASQUES DES PARACHUTISTES DE LA 10e DP
LES COIFFURES DES PARACHUTISTES DE LA 10e DP
LES INSIGNES
LES CHAUSSURES
EQUIPEMENT ET ARMEMENT
vent du sud- Messages : 115
Points : 17443
Réputation : 2814
Date d'inscription : 01/05/2017
PARACHUTISTES MILITAIRES :: - LES RÉGIMENTS, UNITÉS, SERVICE DE SANTE :: - 10eme DIVISION PARACHUTISTE
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
» Saint-Exupéry ou la noblesse du sacrifice
» ASAF Lettre de janvier 2021
» Le saviez-vous ? Guy Marchand Légionnaire et Parachutiste...
» L’historien Benjamin Stora remettra officiellement mercredi 20 janvier 2021 à Emmanuel Macron son rapport sur « les mémoires de la colonisation et de la guerre d’Algérie »
» T u avais juste dix-huit ans, quand on t’a mis un béret rouge
» les îles
» colonel CHATEAU-JOBERT
» Général Pierre MENGUS