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par un vieux rapace
PARACHUTISTES MILITAIRES :: L'ARMOIRE AUX SOUVENIRS :: - L'ARMOIRE AUX SOUVENIRS, DE 1960 JUSQU'EN 1984
Page 1 sur 1
par un vieux rapace
un jour de l'année 1971 le facteur laisse un courrier pas ordinaire contenant un billet de train et me demandant de me présenter le 4 avril au camps d'IDRON dans les Pyrénées .
le trois à la gare bises à la famille , adieu au copains et je commence à me demander dans quelle galère je vais me retrouver . Par chance à hauteur de Valence je retrouve deux camarades de prémi qui, eux aussi sont convoqué à IDRON . L'ambiance change , à trois ont ce sent plus fort , un projet germe … arrivé à Pau ont prends un café et ont visite la ville avant de rejoindre le camps .
a la descente du train des militaires attendent sur le quai . Est - ce notre air de touriste un peut perdu , un don de voyance mais le premier nous regarde et nous dit " pour le 1er RCP c'est de ce côté " et direction les camions . la visite de Pau est remise à plus tard .
le GMC démarre , nous nous accrochons au banc de peur de s'envoler , pas encore l'habitude de rouler en pleine air et d'être secouer .
après 6 km de campagne ou presque le panneau IDRON puis l'entrée du camps ; terminus , personne ne parle nous entrons dans l'inconnu .
gentiment mais fermement ont nous demande de descendre et de suivre " en petite foulée " , direction perception du paquetage ,(2 treillis ,,1 survêtement ,,linge de corps etc.. et 3 bérets 2 rouge et 1 beige qui , devait selon l'encadrement resté pour toujours au fond du sac , ensuite coiffeur ( nous avions les cheveux longs certains la barbe à la sortie personne ne ce reconnaissait la coupe TAP change sont homme physiquement ) , visite médicale , bienvenue au régiment " l'ordre de tous ceci est très incertain" .
la journée étant bien avancé , avec mes deux camarades de prémi nous nous dirigeons vers les bâtiments de la 11em compagnie pour découvrir nos futurs appartements avec chambre de 10 lits , nos armoires métallique et dès le lendemain y commencer une nouvelle vie .
nous ne sortirons du camps que deux mois plus tard pour visiter Pau . nous n'étions plus des touristes pas encore des parachutistes mais sur la bonne voie .
les classes
jours après jours c'était , marche au pas maniement d'arme , séances de tir , sport et parcours du combattant , revue de chambre , tout au carré sans la moindre trace de poussière . La première marche les pieds était au mieux en feu revu d'armes qui durait tard dans la nuit et quand tous n'étais pas parfait ( jamais) petite ballade de 5 km
je vous renvoie ( dans des textes et des hommes il faut lire coêquidant oct /nnov 1962 des occupations courantes de mr LANG ainsi que mr JUNKER dans chez BIGEARD bayonne la citadelle l'instruction ) qui les décrivent beaucoup mieux que moi
puis ce fut l l'ETAP et le brevet Parachutiste , nous n'étions plus des chasseurs nous étions des Parachutistes , en deux mois nous étions transformés .
fin des classes , je vais enfin voir à quoi ressemble la ville de Pau , tous en perm !!! et bien non , avec 10 de mes camarades nous allons servir de troupe pour l'examen des futurs caporaux .
première perm de 36h nous découvrons Pau , ensuite avec mon camarade de prémi nous intégrerons le peg 12em
PEG
quelqu'un nous avait dit le peg c'est pénard , ou il le la pas fait ou il nous a menti .s nuit
les classes en pire ,pendant un mois pratiquement pas de sommeil
le matin pendant les cours que nous donnait un officier , les trois quart s'endormais , mais au bout de trois semaines de ce régime une idée !!! après la revue quand la lumière de la chambre du sergent s'éteint tous le monde au lit sauf un qui nous réveilleras quand la lumière s'allumera . nous avions les yeux bouffis à chaque visite du sergent mais personne surpris au lit . Ces courtes nuits finirons très vite , le sergent étant plus fatigué que nous.
fin de PEG et 1er permission de 16 jours
1erCOMPAGNIE
au retour de permission nommé a la 1er compagnie ( vert ) ou je passerai huit mois qui me semblerons très court
CAYLUS , la CORSE porte avion le CLEMENCEAU qui nous amène de nuit en vue de la Corse , héliportage et début de manœuvre sous un soleil radieux
fin septembre stage a MONT LOUIS et sa citadelle et COLLIOURE avec une eau à vingt degrés .
à la fin du stage manœuvre , après une demi journée d'attente décollage de l'aéroport de Perpignant , saut avec vent fort et fin de manœuvre pour moi , méchante entorse qui me feras visité avec un camarade l'hôpital militaire de perpignan pendant dix jours
nous réintégrerons le régiment par le train en tenue de combat poignard sur le coté et casquette sur la tête
Les années ont passées , il me semble qu'a vingt ans nous étions des dieux
toute cette aventure vous la retrouverez en images et mieux raconté sur le site CAMPIDRON volontaire para 1-2-3-4-5-6
un vieux RAPACE
le trois à la gare bises à la famille , adieu au copains et je commence à me demander dans quelle galère je vais me retrouver . Par chance à hauteur de Valence je retrouve deux camarades de prémi qui, eux aussi sont convoqué à IDRON . L'ambiance change , à trois ont ce sent plus fort , un projet germe … arrivé à Pau ont prends un café et ont visite la ville avant de rejoindre le camps .
a la descente du train des militaires attendent sur le quai . Est - ce notre air de touriste un peut perdu , un don de voyance mais le premier nous regarde et nous dit " pour le 1er RCP c'est de ce côté " et direction les camions . la visite de Pau est remise à plus tard .
le GMC démarre , nous nous accrochons au banc de peur de s'envoler , pas encore l'habitude de rouler en pleine air et d'être secouer .
après 6 km de campagne ou presque le panneau IDRON puis l'entrée du camps ; terminus , personne ne parle nous entrons dans l'inconnu .
gentiment mais fermement ont nous demande de descendre et de suivre " en petite foulée " , direction perception du paquetage ,(2 treillis ,,1 survêtement ,,linge de corps etc.. et 3 bérets 2 rouge et 1 beige qui , devait selon l'encadrement resté pour toujours au fond du sac , ensuite coiffeur ( nous avions les cheveux longs certains la barbe à la sortie personne ne ce reconnaissait la coupe TAP change sont homme physiquement ) , visite médicale , bienvenue au régiment " l'ordre de tous ceci est très incertain" .
la journée étant bien avancé , avec mes deux camarades de prémi nous nous dirigeons vers les bâtiments de la 11em compagnie pour découvrir nos futurs appartements avec chambre de 10 lits , nos armoires métallique et dès le lendemain y commencer une nouvelle vie .
nous ne sortirons du camps que deux mois plus tard pour visiter Pau . nous n'étions plus des touristes pas encore des parachutistes mais sur la bonne voie .
les classes
jours après jours c'était , marche au pas maniement d'arme , séances de tir , sport et parcours du combattant , revue de chambre , tout au carré sans la moindre trace de poussière . La première marche les pieds était au mieux en feu revu d'armes qui durait tard dans la nuit et quand tous n'étais pas parfait ( jamais) petite ballade de 5 km
je vous renvoie ( dans des textes et des hommes il faut lire coêquidant oct /nnov 1962 des occupations courantes de mr LANG ainsi que mr JUNKER dans chez BIGEARD bayonne la citadelle l'instruction ) qui les décrivent beaucoup mieux que moi
puis ce fut l l'ETAP et le brevet Parachutiste , nous n'étions plus des chasseurs nous étions des Parachutistes , en deux mois nous étions transformés .
fin des classes , je vais enfin voir à quoi ressemble la ville de Pau , tous en perm !!! et bien non , avec 10 de mes camarades nous allons servir de troupe pour l'examen des futurs caporaux .
première perm de 36h nous découvrons Pau , ensuite avec mon camarade de prémi nous intégrerons le peg 12em
PEG
quelqu'un nous avait dit le peg c'est pénard , ou il le la pas fait ou il nous a menti .s nuit
les classes en pire ,pendant un mois pratiquement pas de sommeil
le matin pendant les cours que nous donnait un officier , les trois quart s'endormais , mais au bout de trois semaines de ce régime une idée !!! après la revue quand la lumière de la chambre du sergent s'éteint tous le monde au lit sauf un qui nous réveilleras quand la lumière s'allumera . nous avions les yeux bouffis à chaque visite du sergent mais personne surpris au lit . Ces courtes nuits finirons très vite , le sergent étant plus fatigué que nous.
fin de PEG et 1er permission de 16 jours
1erCOMPAGNIE
au retour de permission nommé a la 1er compagnie ( vert ) ou je passerai huit mois qui me semblerons très court
CAYLUS , la CORSE porte avion le CLEMENCEAU qui nous amène de nuit en vue de la Corse , héliportage et début de manœuvre sous un soleil radieux
fin septembre stage a MONT LOUIS et sa citadelle et COLLIOURE avec une eau à vingt degrés .
à la fin du stage manœuvre , après une demi journée d'attente décollage de l'aéroport de Perpignant , saut avec vent fort et fin de manœuvre pour moi , méchante entorse qui me feras visité avec un camarade l'hôpital militaire de perpignan pendant dix jours
nous réintégrerons le régiment par le train en tenue de combat poignard sur le coté et casquette sur la tête
Les années ont passées , il me semble qu'a vingt ans nous étions des dieux
toute cette aventure vous la retrouverez en images et mieux raconté sur le site CAMPIDRON volontaire para 1-2-3-4-5-6
un vieux RAPACE
salliere herve- Messages : 120
Points : 10659
Réputation : 1497
Date d'inscription : 07/10/2018
Age : 69
Localisation : mont de marsan
Re: par un vieux rapace
Bonsoir Sallière Hervé,
Quelle belle histoire que tu nous racontes, j'ai vécu sensiblement la même début 72
même régiment, même compagnie que de bons souvenirs.
Un autre Vieux Rapace
Quelle belle histoire que tu nous racontes, j'ai vécu sensiblement la même début 72
même régiment, même compagnie que de bons souvenirs.
Un autre Vieux Rapace
VERT- Messages : 101
Points : 11903
Réputation : 639
Date d'inscription : 15/02/2018
Age : 69
Localisation : ALPES
Re: par un vieux rapace
Merci salliere hervé pour ce petit « rafraîchissement « confirmé par Vert !
Dans ces années-là, j’ai vu passer quelques » rapaces » dans les rues de cette ville de Pau aux habitants bien calmes. Ils étaient parfois en concurrence avec ceux de la route de Bordeaux mais la couleur du béret était la même...
Ces « volatiles » avaient le cheveu court, se déplaçaient à plusieurs et faisaient du stop pour éviter la marche à pieds… On les aimait bien, même s’ils faisaient parfois un peu de bruit pendant leurs vols en "escadrilles"…
J’espère que vous y retournez parfois.
Ne serait-ce que pour admirer l’Ossau à partir du boulevard des Pyrénées (quand il veut bien se montrer) ou déguster ces gâteaux uniques « Les Petits Russes ». On ne les trouvait qu’à Oloron mais depuis quelques années on les trouve aussi au 3 rue Gassion à Pau (patisserie Artigarrede). Attention aux contrefaçons !
« il me semble qu'a vingt ans nous étions des dieux »
Vous savez, les "rapaces" ne vieillissent pas, j’en suis certain !
Et, même si leur vol est un peu moins assuré, ils sont toujours des Dieux…
Dans ces années-là, j’ai vu passer quelques » rapaces » dans les rues de cette ville de Pau aux habitants bien calmes. Ils étaient parfois en concurrence avec ceux de la route de Bordeaux mais la couleur du béret était la même...
Ces « volatiles » avaient le cheveu court, se déplaçaient à plusieurs et faisaient du stop pour éviter la marche à pieds… On les aimait bien, même s’ils faisaient parfois un peu de bruit pendant leurs vols en "escadrilles"…
J’espère que vous y retournez parfois.
Ne serait-ce que pour admirer l’Ossau à partir du boulevard des Pyrénées (quand il veut bien se montrer) ou déguster ces gâteaux uniques « Les Petits Russes ». On ne les trouvait qu’à Oloron mais depuis quelques années on les trouve aussi au 3 rue Gassion à Pau (patisserie Artigarrede). Attention aux contrefaçons !
« il me semble qu'a vingt ans nous étions des dieux »
Vous savez, les "rapaces" ne vieillissent pas, j’en suis certain !
Et, même si leur vol est un peu moins assuré, ils sont toujours des Dieux…
LANG- ADMINISTRATEUR
- Messages : 936
Points : 31880
Réputation : 14708
Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 79
Localisation : Yonne
Re: par un vieux rapace
LANG a écrit: J’espère que vous y retournez parfois.
Ne serait-ce que pour admirer l’Ossau à partir du boulevard des Pyrénées (quand il veut bien se montrer)
Merci LANG de vous intéresser à la vie d'un vieux RAPACE, c'est avec la larme à l'œil que nous retournons tous les ans au mois de mai dans ce qui reste de notre cher Camp à l'occasion de l'AG de notre association A.A.M.C.I ( Amicale des Anciens Militaires du Camp d'Idron ) preuve à l'appui:
http://www.aamci.fr/
Mais aussi pour admirer le Pic d'Ossau appelé aussi par les Palois JEAN-PIERRRE
Quant à ceux

Rapace un jour, Rapace toujours.
VERT- Messages : 101
Points : 11903
Réputation : 639
Date d'inscription : 15/02/2018
Age : 69
Localisation : ALPES
Re: par un vieux rapace
... Merci à l'admirateur de Jean Pierre ! On va pouvoir créer une confrérie !
Et en plus, il était beau ce camp de la route de Tarbes...
Bon, va falloir que je regarde sur le GPS pour programmer quelque chose en direction du sud ouest...
Et en plus, il était beau ce camp de la route de Tarbes...
Bon, va falloir que je regarde sur le GPS pour programmer quelque chose en direction du sud ouest...
LANG- ADMINISTRATEUR
- Messages : 936
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Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 79
Localisation : Yonne
Re: par un vieux rapace
Je n'ai pas connu comme vous les mêmes sites sauf PAU la BETAP en hiver c'est pas folichon, Bayonne non plus !!
junker- Messages : 444
Points : 18460
Réputation : 6352
Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 84
Localisation : Deux-Sèvres
Re: par un vieux rapace
Bayonne, je suis d'accord, mais à Pau avec une bière sur la terrasse de l'Aragon face à l'Ossau avec le soleil de fin janvier...
Je reconnais qu'il fallait y arriver au boulevard des Pyrénées à partir de la BETAP et qu'à pieds... puis le retour...
Y avait quand même des vélos à l'époque ! En tout cas, il y en avait beaucoup dans les fossés de la BETAP le dimanche soir...
Je reconnais qu'il fallait y arriver au boulevard des Pyrénées à partir de la BETAP et qu'à pieds... puis le retour...
Y avait quand même des vélos à l'époque ! En tout cas, il y en avait beaucoup dans les fossés de la BETAP le dimanche soir...
LANG- ADMINISTRATEUR
- Messages : 936
Points : 31880
Réputation : 14708
Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 79
Localisation : Yonne
Re: par un vieux rapace
D'accord avec toi mon ami LANG, mais d'une autre époque " celle des Ancêtres" je ne me situe pas très bien, Pau c'était quelques perms de quelques heures très courte, et sans un sous en poche, il est difficile de côtoyer d'autres divergences militaires! De mon temps pas de perm car avec des cours accélérés pour envoyer un maximum d'écervelés en Algérie, tout était dans la recherche du vite est bienfait, nous logions dans des baraquement en bois bien à l'écart des quartier des troupes du coin, avec un hiver mémorable de ce mois de novembre 1955 ou tout aspect humain disparaissait au profit du dermerde toi, tu es " para " à toi d'assumer !! Nous avons eu des températures de moins 10° et au mois de janvier, après notre brevet je me suis retrouvé à Fréjus au camps de la FRAAC pour les permis de conduire dans des baraques avec - 15°, et ce , dans le midi, toutes les canalisations eaux avaient pétées, et la place d'arme était devenue une patinoire que les femmes d'officiers profitaient pour faire de la patinoire!! J'ai plein de chose à raconter sur ces moments d'endurcissements de petit "Para que j'étais !!!
junker- Messages : 444
Points : 18460
Réputation : 6352
Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 84
Localisation : Deux-Sèvres
Re: par un vieux rapace
Je vois et je comprends. Cet hiver là a été terrible.
Fin janvier 1956, ils ne devaient pas être nombreux à boire une bière en terrasse du boulevard des Pyrénées…
Pendant que tu te les gelait (restons corrects), j’attendais mon car pour aller en classe (du côté du grand Est comme on dit aujourd’hui). Et, je garde finalement un souvenir agréable de cet hiver.
Si, si !
Figures-toi qu’il faisait froid, très froid et que sauter sur place ne réchauffait pas forcément.
Alors, forcément on avait froid mais… mais, et c’est là que cela devient sympa. Le conducteur du car n’arrivait pas à faire démarrer son engin. Dans c’temps-là le gasoil n’aimait pas geler avant d’arriver dans les gicleurs…
Et que faisait le conducteur ? Et bien il mettait des journaux sous l’autobus. Et alors ?
Et ben, il allumait le papier.
Et alors ?
Et ben, non, le car ne prenait pas feu mais le gasoil ne se réchauffait pas.
Et alors ?
Et ben, c’était merveilleux, on n’allait pas en classe !
Un joyeux hiver que celui de 1955-56 !
Je précise qu’il devait faire du moins 25 moins 30 peut-être…
Fin janvier 1956, ils ne devaient pas être nombreux à boire une bière en terrasse du boulevard des Pyrénées…
Pendant que tu te les gelait (restons corrects), j’attendais mon car pour aller en classe (du côté du grand Est comme on dit aujourd’hui). Et, je garde finalement un souvenir agréable de cet hiver.
Si, si !
Figures-toi qu’il faisait froid, très froid et que sauter sur place ne réchauffait pas forcément.
Alors, forcément on avait froid mais… mais, et c’est là que cela devient sympa. Le conducteur du car n’arrivait pas à faire démarrer son engin. Dans c’temps-là le gasoil n’aimait pas geler avant d’arriver dans les gicleurs…
Et que faisait le conducteur ? Et bien il mettait des journaux sous l’autobus. Et alors ?
Et ben, il allumait le papier.
Et alors ?
Et ben, non, le car ne prenait pas feu mais le gasoil ne se réchauffait pas.
Et alors ?
Et ben, c’était merveilleux, on n’allait pas en classe !
Un joyeux hiver que celui de 1955-56 !
Je précise qu’il devait faire du moins 25 moins 30 peut-être…
LANG- ADMINISTRATEUR
- Messages : 936
Points : 31880
Réputation : 14708
Date d'inscription : 09/12/2018
Age : 79
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